vendredi 4 juillet 2025
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Deux grands patrons témoignent sur leur stratégie numérique au Smart Enterprise Club

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Dans un monde en pleine mutation, l’adaptation de l’entreprise est au cœur des préoccupations du dirigeant. Nombreux sont ceux qui s’interrogent sur une organisation à la fois plus efficace, moins coûteuse, plus innovante et en phase avec son marché. A l’initiative de Visiativ, Le Smart Enterprise Club accompagne le dirigeant dans la nécessaire mutation numérique de son entreprise. C’est pourquoi, à l’occasion de conférences qu’il organise, deux dirigeants de renom prennent la parole et témoignent sur l’opportunité de repenser sa stratégie et son business model à l’heure du numérique.

Le Smart Enterprise Club réunit et guide les dirigeants dans leur stratégie numérique.

Au travers de récits fondés sur des expériences, de bonnes pratiques, d’échanges entre membres, le Smart Enterprise Club se veut un guide pour éclairer et emmener le dirigeant à la recherche des potentiels que représente le digitale aujourd’hui, pour son entreprise.

Ce club est une initiative du groupe VISIATIV. Il est ouvert à tous les dirigeants, de tous secteurs d’activité confondus. Lancé en septembre dernier, il compte déjà plus de 220 membres répartis sur Lyon, Grenoble, Paris et Nantes.

Les rendez-vous et activités du Smart Enterprise Club

Logotype du Smart Entreprise ClubPour permettre à chacun de trouver ses propres clés pour avancer, le Club propose :

– un rendez-vous mensuel dans chacune des villes. C’est autour d’un petit déjeuner qu’une thématique commune est traitée.
– un événement trimestriel. De plus grande ampleur, il réunit les membres du Club pour une conférence de qualité avec un intervenant de renom.

Ces conférences permettent de partager, au travers d’exemples, de retours d’expériences et de cas concrets, avec pour fil conducteur, le témoignage de l’expert sur la façon dont son entreprise a négociée le virage numérique.

Cela répond à la mission prioritaire du club : permettre aux dirigeants de devenir des Smart Boss en 18 mois.

Trois conférences sur le thème « Repenser sa stratégie et son business model à l’heure du numérique »

Les intervenants

Ce sont deux piliers du groupe JCDecaux qui assureront ces premières cessions de conférences gratuites :

  • Jean Muller, Vice Président en charge du développement et du commerce
  • Albert Asséraf, Directeur Général Stratégies, Etudes et Marketing

Dates et lieux des conférences :

  • Le 2 décembre 2014 à Lyon (Novotel de Lyon Bron) de 18h30 à 21h00 – inscription
  • Le 3 décembre 2014 à Grenoble (La Maison du Rugby) de 18h30 à 21h00 – inscription
  • Le 10 décembre 2014 à Paris (Centre Etoile St-Honoré) de 18h30 à 21h00 – inscription

Toujours dans l’optique de favoriser le partage et l’échange (une des ambition première du club), les conférences se clôtureront par un cocktail dînatoire.

A propos des intervenants :

  • Jean Muller,

Jean MullerVice Président en charge du développement et du commerce chez JCDecaux, sera l’intervenant sur Lyon et Grenoble. Une expérience de plus de 20 ans dans les métiers de la vente et le développement d’affaires, dont 15 ans dans l’univers de la communication et des médias (JCDecaux et NRJ Group) avec la gestion des forces de vente de 200 à 450 personnes.

Militant de la fonction commerciale, Jean MULLER est aussi le vice-président du «Club des Dirigeants Commerciaux 1er de France » qui rassemblent des directeurs commerciaux de grandes entreprises françaises comme Orange, Ricard, Axa, GDF Suez, Legrand, Accor, BPCE, Coriolis, Safran, etc. Membre du Comité de Direction France de JCDecaux.

  • Albert Asséraf,

Directeur Général Stratégies, Etudes et Marketing chez JCDecaux sera l’intervenant sur Paris. Albert ASSERAF, 51 ans, titulaire d’une Maîtrise de Sciences et Techniques de l’Information, a commencé sa carrière, en 1985, chez Comecon, société de conseil en publicité extérieure.

Il l’a poursuivi au sein de Carat Comecon Affichage où il est nommé, en 1990, Directeur des Etudes et des Outils. En 1993, il devient Directeur Général de Carat Expert Affichage. De 2001 à 2004, il est Directeur Général de Carat Expert Affichage et Médias Locaux et Directeur Général de Carat Local.

Albert ASSERAF est membre du Conseil d’Administration du CESP, Président du Collège Publicité Extérieure du CESP, Professeur Associé au sein du Département Marketing, Publicité et Communication du CELSA Paris Sorbonne, Président de Neuilly Nouveaux Médias et a été Président d’Affimétrie, organisme dédié à la mesure d’audience des supports de Communication Extérieure, pour l’année 2011.

(Source www.jcdecaux.com)

A propos de Visiativ :

Editeur et intégrateur de solutions logicielles innovantes, Visiativ se positionne comme accélèrateur de la transformation numérique des entreprises grâce à sa plateforme collaborative et sociale orientée métier.

Positionné sur les entreprises du midmarket depuis sa création en 1987, Visiativ a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 49,2 M€ dont 43% de chiffre d’affaires récurrent.

Son portefeuille client diversifié se compose de plus de 9 000 clients. Présent en France au travers de 15 agences ainsi qu’en Suisse et au Maroc au travers de deux filiales, Visiativ compte 330 collaborateurs dont 44 dédiés à la R&D. Visiativ est cotée sur Alternext Paris.

Pour plus d’informations sur le Smart Enterprise Club

par FOULSHAM Éric . Mis à jour le 26 nov. 2014

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Actualité du Digital & Numérique
Visiativ
Actualités UP Numérique
Devenir une SMART ENTERPRISE ?

Visiativ accompagne les entreprises à devenir des #Smart Enterprise grâce à son métier d’éditeur d’une plateforme collaborative et sociale et grâce à son expertise autour de la plateforme 3D Expérience de Dassault Systèmes.

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Visiativ accompagne les entreprises à devenir des #Smart Enterprise grâce à son métier d’éditeur d’une plateforme collaborative et sociale et grâce à son expertise autour de la plateforme 3D Expérience de Dassault Systèmes.

par FOULSHAM Éric . Mis à jour le 26 nov. 2014

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Quinze entreprises villeurbannaises distinguées par leurs pairs

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2014CoupsCoeur2

 

Économie. Le GEVIL a mis à l’honneur petites et grandes entreprises locales et commerçants, lors d’une soirée à l’hôtel de ville.

Errata: Lire Prevent eCoach au lieu de Trevent Ecoach pour le prix de la création d’entreprise .

 

Le Progrès du 15 novembre 2014

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Les cinq chantiers de Laurent Fiard, le nouveau président du Medef Lyon-Rhône

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Dominique Largeron

Assurément, Laurent Fiard qui arrive à l’âge de 50 ans à la tête du Medef Lyon-Rhône n’envisage pas de faire de la figuration. Le président de Visiativ, une PME du secteur numérique de 330 salariés, récemment introduite en Bourse, est manifestement décidé, depuis qu’il est arrivé à la tête de l’organisation patronale en juin dernier, à faire bouger les lignes. Il a engagé pour ce faire cinq chantiers.

Laurent Fiard

1/Rééditer le bon coup du « carton jaune » : le 3 décembre

 Un passage obligé dû à l’actualité. En présence des deux présidents nationaux du Medef et de la CGPME, l’opération « Carton jaune » à l’amphithéâtre de la Cité internationale à Lyon avait rencontré, l’année dernière, un gros impact médiatique.

Bis repetita cette année : à peu près à la même date et peut-être sur le même site capable d’accueillir trois mille chefs d’entreprises, Laurent Fiard annonce à nouveau une grande manifestation commune à tous les chefs d’entreprise à Lyon.

« Nous en avons assez que l’on évoque, en parlant des chefs d’entreprises « des jérémiades de rentiers rabougris » ou des « cadeaux aux entrepreneurs. Nous voulons de la confiance et du respect », lance Laurent Fiard.

 Compte pénibilité, vraies inquiétudes autour des comptes publics, loi Hamon sur l’information des salariés en cas de vente des entreprises, etc. : toutes ces raisons amèneront les chefs d’entreprises à renouveler l’opération « Carton jaune » de l’année dernière, le 3 décembre prochain. Au Medef et à la CGPME, s’ajouteront les artisans de l’UPA et sans doute aussi les représentants des professions libérales réunis au sein de l’UNAPL.

 Cette manifestation constituera le cœur d’une semaine de mobilisation.

2/Lancer l’Open Innova’Lyon, une marque pour fédérer « les passionnés de l’entreprise »

« Je suis de ceux qui pensent que lorsqu’on lance un projet,, il faut lui donner un nom », explique Laurent Fiard.

Le projet dont il est question est « Open Innova’Lyon ». De quoi s’agit-il ? « Nous voulons créer un véritable hub d’innovation pour sortir des sentiers battus », explique-t-il.

 Pour le nouveau président du Medef, il s’agit de rassembler les chefs d’entreprises autour de l’innovation, à l’instar de ce que l’on appelle l’open innovation qui, autour des entreprises, permet d’agréger toutes les initiatives en matière de recherche.

 « Nous voulons mettre en place une dynamique d’innovation ouverte qui fasse appel à l’intelligence collective : il s’agit aussi bien de l’innovation technologique que de l’innovation sociale : nous voulons mettre le capital humain au cœur de la dynamique de Métropole », précise Laurent Fiard.

Ce projet est en effet directement connecté à la création de la Métropole lyonnaise, le 1er janvier prochain : «  Nous voulons rassembler les dirigeants qui veulent s’impliquer dans la dynamique de la Métropole, partager leurs expériences et proposer des idées nouvelles pour accompagner la croissance et l’emploi », précise le patron de Visiativ.

Si l’esprit de ce projet est clair, reste à en connaître plus précisément le fonctionnement et les modalités, encore floues.

 On devrait être assez rapidement fixé : « Nous sommes dans la phase de construction, mais rien ne nous empêchera de lancer les premières innovations dès 2015 », assure le président du Medef Lyon-Rhône.

 3/Créer un comité Sport au sein du Medef avec le président du LOU Rugby à sa tête

 Dans le prolongement du projet « Innova’Lyon », à côté de trois autres Comités, un Comité Sport est créé au sein du Medef-Lyon-Rhône. Animé par Yann Robert, le président du LOU Rugby. Il rassemble des responsables sectoriels de l’économie du sport, des présidents de clubs, des entreprises et des hommes politiques, soit une vingtaine de membres.

« Actuellement, le sport représente 1,75 % du PIB de notre pays, soit 34 milliards d’euros : dans cet ensemble, le sport professionnel ne pèse que 4 milliards », explique Laurent Fiard.

Ce nouveau comité se penchera ainsi sur le volet économique du sport, mais aussi sur celui de la santé ; ainsi que sur la reconversion des sportifs professionnels de haut niveau.

 4/Reconfigurer le Printemps des entrepreneurs

Laurent Fiard veut faire évoluer la formule du Printemps des Entrepreneurs, la manifestation phare du Medef qui chaque année rassemble au Double Mixte, à Villeurbanne, des milliers de chefs d’entreprise.

Programmée le 2 avril 2015, cette manifestation aura cette année pour thème : « Connectons-nous ».

« Ce sera l’occasion de s’interroger sur les bouleversements liés à l’ère du digital, sur les opportunités offertes par la connectivité et les plateformes collaboratives-, sur la place de l’humain dans ce nouveau système », décrit Laurent Fiard.

Il ajoute : « Nous voulons donner les informations aux entrepreneurs pour qu’ils réinvestissent leurs entreprises pour les mettre à l’heure numérique, qu’ils touchent du doigt les imprimantes 3D, qu’ils comprennent l’enjeu des objets connectés… »

 Au programme : des ateliers collaboratifs permettant l’échange des bonnes pratiques et des séances de « speed business » destinées à favoriser la fertilisation entre les entreprises de différentes filières.

 5/Favoriser la création de 100 000 emplois

 Il s’agit de la déclinaison régionale du million d’emplois à créer, porté en bandoulière par Pierre Gattaz, président national du Medef.

 « En conjuguant les forces et les talents, créer 100 000 emplois dans la Métropole, c’est possible », lance Laurent Fiard

Par quels moyens ? «  L’apprentissage, la pédagogie économique, le travail collaboratif doivent être renforcés pour nous permettre de réussir ensemble », assure le président du Medef Lyon-Rhône.

Reste à faire en sorte que ce ne soit pas qu’un slogan…

Publiée le 13 nov. 2014 par LARGERON Dominique.

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Rhône
Actualités du Medef

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Les cinq chantiers de Laurent Fiard, le nouveau président du Medef Lyon-Rhône

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Dominique Largeron

Assurément, Laurent Fiard qui arrive à l’âge de 50 ans à la tête du Medef Lyon-Rhône n’envisage pas de faire de la figuration. Le président de Visiativ, une PME du secteur numérique de 330 salariés, récemment introduite en Bourse, est manifestement décidé, depuis qu’il est arrivé à la tête de l’organisation patronale en juin dernier, à faire bouger les lignes. Il a engagé pour ce faire cinq chantiers.

Laurent Fiard

1/Rééditer le bon coup du « carton jaune » : le 3 décembre

 Un passage obligé dû à l’actualité. En présence des deux présidents nationaux du Medef et de la CGPME, l’opération « Carton jaune » à l’amphithéâtre de la Cité internationale à Lyon avait rencontré, l’année dernière, un gros impact médiatique.

Bis repetita cette année : à peu près à la même date et peut-être sur le même site capable d’accueillir trois mille chefs d’entreprises, Laurent Fiard annonce à nouveau une grande manifestation commune à tous les chefs d’entreprise à Lyon.

« Nous en avons assez que l’on évoque, en parlant des chefs d’entreprises « des jérémiades de rentiers rabougris » ou des « cadeaux aux entrepreneurs. Nous voulons de la confiance et du respect », lance Laurent Fiard.

 Compte pénibilité, vraies inquiétudes autour des comptes publics, loi Hamon sur l’information des salariés en cas de vente des entreprises, etc. : toutes ces raisons amèneront les chefs d’entreprises à renouveler l’opération « Carton jaune » de l’année dernière, le 3 décembre prochain. Au Medef et à la CGPME, s’ajouteront les artisans de l’UPA et sans doute aussi les représentants des professions libérales réunis au sein de l’UNAPL.

 Cette manifestation constituera le cœur d’une semaine de mobilisation.

2/Lancer l’Open Innova’Lyon, une marque pour fédérer « les passionnés de l’entreprise »

« Je suis de ceux qui pensent que lorsqu’on lance un projet,, il faut lui donner un nom », explique Laurent Fiard.

Le projet dont il est question est « Open Innova’Lyon ». De quoi s’agit-il ? « Nous voulons créer un véritable hub d’innovation pour sortir des sentiers battus », explique-t-il.

 Pour le nouveau président du Medef, il s’agit de rassembler les chefs d’entreprises autour de l’innovation, à l’instar de ce que l’on appelle l’open innovation qui, autour des entreprises, permet d’agréger toutes les initiatives en matière de recherche.

 « Nous voulons mettre en place une dynamique d’innovation ouverte qui fasse appel à l’intelligence collective : il s’agit aussi bien de l’innovation technologique que de l’innovation sociale : nous voulons mettre le capital humain au cœur de la dynamique de Métropole », précise Laurent Fiard.

Ce projet est en effet directement connecté à la création de la Métropole lyonnaise, le 1er janvier prochain : «  Nous voulons rassembler les dirigeants qui veulent s’impliquer dans la dynamique de la Métropole, partager leurs expériences et proposer des idées nouvelles pour accompagner la croissance et l’emploi », précise le patron de Visiativ.

Si l’esprit de ce projet est clair, reste à en connaître plus précisément le fonctionnement et les modalités, encore floues.

 On devrait être assez rapidement fixé : « Nous sommes dans la phase de construction, mais rien ne nous empêchera de lancer les premières innovations dès 2015 », assure le président du Medef Lyon-Rhône.

 3/Créer un comité Sport au sein du Medef avec le président du LOU Rugby à sa tête

 Dans le prolongement du projet « Innova’Lyon », à côté de trois autres Comités, un Comité Sport est créé au sein du Medef-Lyon-Rhône. Animé par Yann Robert, le président du LOU Rugby. Il rassemble des responsables sectoriels de l’économie du sport, des présidents de clubs, des entreprises et des hommes politiques, soit une vingtaine de membres.

« Actuellement, le sport représente 1,75 % du PIB de notre pays, soit 34 milliards d’euros : dans cet ensemble, le sport professionnel ne pèse que 4 milliards », explique Laurent Fiard.

Ce nouveau comité se penchera ainsi sur le volet économique du sport, mais aussi sur celui de la santé ; ainsi que sur la reconversion des sportifs professionnels de haut niveau.

 4/Reconfigurer le Printemps des entrepreneurs

Laurent Fiard veut faire évoluer la formule du Printemps des Entrepreneurs, la manifestation phare du Medef qui chaque année rassemble au Double Mixte, à Villeurbanne, des milliers de chefs d’entreprise.

Programmée le 2 avril 2015, cette manifestation aura cette année pour thème : « Connectons-nous ».

« Ce sera l’occasion de s’interroger sur les bouleversements liés à l’ère du digital, sur les opportunités offertes par la connectivité et les plateformes collaboratives-, sur la place de l’humain dans ce nouveau système », décrit Laurent Fiard.

Il ajoute : « Nous voulons donner les informations aux entrepreneurs pour qu’ils réinvestissent leurs entreprises pour les mettre à l’heure numérique, qu’ils touchent du doigt les imprimantes 3D, qu’ils comprennent l’enjeu des objets connectés… »

 Au programme : des ateliers collaboratifs permettant l’échange des bonnes pratiques et des séances de « speed business » destinées à favoriser la fertilisation entre les entreprises de différentes filières.

 5/Favoriser la création de 100 000 emplois

 Il s’agit de la déclinaison régionale du million d’emplois à créer, porté en bandoulière par Pierre Gattaz, président national du Medef.

 « En conjuguant les forces et les talents, créer 100 000 emplois dans la Métropole, c’est possible », lance Laurent Fiard

Par quels moyens ? «  L’apprentissage, la pédagogie économique, le travail collaboratif doivent être renforcés pour nous permettre de réussir ensemble », assure le président du Medef Lyon-Rhône.

Reste à faire en sorte que ce ne soit pas qu’un slogan…

Publiée le 13 nov. 2014 par LARGERON Dominique.

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RENCONTREZ- VOUS le 26 novembre 2014 avec la CGPME

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François Turcas, Président de la CGPME du Rhône, est heureux de vous inviter à une soirée dédiée aux chefs d’entreprise de TPE-PME le Mercredi 26 novembre 2014 – 18h30, à l’Hippodrome Carré de Soie avec Michel Hébert, grand témoin de la soirée

PROGRAMME :

  • 17h30 : VISITE guidée de l’Hippodrome Carré de Soie (dans la limite des places disponibles)
  • 18h30 : ACCUEIL des participants pour la soirée Rencontr’&Vous
  • 18h45 : MOT DE BIENVENUE par Jean-Claude RAVIER, Président des Hippodromes de Lyon
  • 19h00 : POINT D’ACTUALITÉ syndicale de la CGPME
  • 19h15 : CÉRÉMONIE OFFICIELLE d’intronisation des nouveaux adhérents par François Turcas
  • 19h45 : TÉMOIGNAGE de Michel Hébert, passionné par l’entrepreneuriat,
    Président du cabinet de conseil No-Logic Consulting,
    Fondateur du groupe de communication Jump France,
    Auteur d’un nouvel ouvrage : « Le marketing de l’adaptation, le bricolage de la pensée ».
  • 20h15 : COCKTAIL d’échanges entre chefs d’entreprise
INSCRIPTION OBLIGATOIRE,
avant le 24 novembre :
www.inscription.cgpme-rhone.orgVous recevrez ensuite un accès électronique, à présenter à l’entrée de l’événement.Revivez la soirée RENCONTR’&VOUS du 2 juillet 2014, au Matmut Stadium :
Les photos
> La vidéo best-of

Réagissez sur Twitter : #RVcgpme69

CGPME du Rhône
55 rue Sergent Michel Berthet  -69009 Lyon
Tél. : 04 72 53 74 74 – Fax : 04 72 53 74 70Site Internet :www.cgpme-ra.org/rhone
Twitter : @CGPME69

 

Participez vous aussi aux événements CGPME

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Wine Business Club, le réseau lyonnais de chefs d’entreprise qui monte

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A côté des deux piliers, le « Cercle de l’Union » et le « Prisme », un nouveau réseau de chefs d’entreprise est en train d’attirer depuis quelques années un nombre grandissant d’adeptes à Lyon : le Wine Business Club. Un savant mélange de convivialité, d’humour, de gastronomie et d’œnologie derrière lesquels le business se crée plus naturellement…

De gauche à droite, Olivia Cuir, vice-présidente du Wine Business Club, Bruno Alart, président et PPDA (archives)

Comme son nom l’indique, le Wine Business Club est un vrai business. Il ne s’agit pas d’une association réunissant des chefs d’entreprise, mais d’une Sarl basée à Paris dont le créateur, Alain Marty, mène son concept comme une entreprise.

Au siège, à Paris, vingt personnes font tourner-plutôt bien- une boutique plutôt rentable.

 2 500 membres

Car assurément, de Bordeaux à Reims en passant par Monte-Carlo, Genève ou Perpignan, le concept plaît. Pour preuve : à ce jour, ce réseau qui déborde des frontières de l’Hexagone compte un total de 2 500 membres

A telle enseigne qu’à Lyon, Le Wine Business Club est depuis plusieurs années en train de gagner ses galons face à des clubs de chefs d’entreprises plus anciens, tels que l’ancêtre, « Le Cercle de l’Union », basé place Bellecour ou « le Prisme », installé, lui, dans le très chic 6ème arrondissement de Lyon.

Pour le Wine Business Club, c’est Charbonnières ou encore plus précisément « La Rotonde », le restaurant gastronomique du casino le Lyon Vert, appartenant à la famille Partouche.

Un choix qui, après le Sofitel dans le Presqu’île lyonnaise, à ses débuts, il y a cinq ans, avait été notamment opéré pour son chef, Philippe Gauvreau, alors auréolé par ses deux étoiles au Michelin.

En mésentente avec Mme Partouche, Philippe Gauvreau a quitté en février dernier l’établissement pour être remplacé par Jean-François Malle qui repart à zéro, sans aucune étoile. Une catastrophe pour le Wine Business Club dont la gastronomie et l’œnologie sont les deux principaux gènes ?

« Nous restons fidèles à la Rotonde »

Pour le président du Wine Business Club, Bruno Alart, un avocat d’affaires de 57 ans, pas du tout : « Nous sommes restés fidèles à la Rotonde et à son nouveau chef. Ils nous a prouvé, depuis qu’il a pris la responsabilité de la cuisine qu’il pouvait être l’égal des plus grands. » D’ailleurs la direction du casino a assigné un lourd challenge  au nouveau chef : obtenir sa première étoile sans trop tarder.

Les repas du Wine Business Club accueillent de cent à cent-cinquante personnes, ce dernier chiffre ayant été atteint lors du dernier dîner, en octobre, lors de la soirée accueillant le comédien Pierre Arditi.

Le choix des invités, soit des personnalités du monde de la culture ou de l’entreprise, est pour beaucoup dans le succès de ce Club. En prévision, parmi les futurs invités : Bernard Lecoq ; Emmanuel Imberton, le président de la CCI de Lyon ; le comédien André Dussolier qui triomphe actuellement au théâtre des Célestins ; Gilbert Coudène, le pape des murs peints, etc.

Mais sans doute, ce qui fait sa différence avec d’autres réseaux plus guindés est ce savant mélange de gastronomie, d’œnologie et d’humour, omniprésent. Un humour pratiqué par son président ou par Olivier Sucrot, un expert-comptable qui sait manier les mots aussi bien que les chiffres.

« Cette ambiance conviviale, très détendue n’empêche pas le business, même si chez nous cela prend plus de temps : car nous sommes avant tout un réseau d’affaires », n’oublie pas de préciser Bruno Alart.

Le président du Wine Business Club estime « avoir réussi à créer une ambiance, un état d’esprit très particulier qui fait que l’on se presse désormais à nos soirées. Les gens s’amusent, sont heureux d’être là. »

Pour lui, un des ingrédients de la réussite est l’assortiment des invités : c’est Bruno Alart lui-même qui détermine ainsi le plan de table.

Le Wine Business Club c’est un savant mélange de capitaines d’industrie, de patrons de PME, de membres des professions libérales, de notaires, d’experts-comptables, de financiers…

Bruno Bonnell, Roland Tchénio, Olivia Cuir…

Et il est vrai que parmi la centaine de membres du Club, on trouve l’icône lyonnaise de la robotique, Bruno Bonnell, qui figure au conseil d’administration, mais aussi Roland Tchénio, le Pdg de Toupargel.

Une femme figure également au conseil d’administration, comme vice-présidente, Olivia Cuir, qui a beaucoup œuvré pour la création de ce Club. Directrice générale de l’agence de Communication « Esprit des Sens », elle est également engagée dans Lyon City Design.

 Parmi les membres, on y trouve aussi de grandes entreprises, à l’instar de Thales, Bull, la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes, etc. Pouvant réserver des tables entières, elles peuvent inviter à leur tour, prospects ou partenaires et ne s’en privent pas.

Rançon du succès : en fonction des invités, la demande est parfois trop forte pour la jauge de la Rotonde-150 personnes maximum-. Bruno Alart est alors « obligé de demander à certaines entreprises de modérer leur nombre d’invités », reconnaît-il .

 Un turn-over plutôt faible

Ceci explique que le turn-over, de l’ordre de 10 à 15 % est plutôt faible pour ce type de réseau.

Pourtant le Wine Business Club n’est pas le moins onéreux des clubs d’entreprises : le droit d’entrée est de 250 euros. Il faut ensuite régler une cotisation annuelle de 725 euros. Sans oublier le prix d’un dîner : 135 euros. Mais il est vrai que la convivialité, liée à un bon réseau d’influence, ça n’a pas de prix…

Publiée le 03 nov. 2014 par LARGERON Dominique.

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Jean-Paul TORRES

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Nous apprenons avec tristesse le décès de Jean-Paul Torres, correspondant de presse au Progrès.

Nous avions rencontré Jean-Paul il y a 3 ans dans un cadre professionnel, et il était rapidement devenu notre interlocuteur au GEVIL.

Sa proximité avec le monde des entreprises et ses qualités humaines en avait fait aussi avant tout et surtout un ami dans ces années.

Nous transmettons à sa famille toutes nos condoléances et l’assurons de notre soutien dans cette épreuve.

Le GEVIL

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Réseau d’entreprises au féminin : les « Mampreneurs » sont désormais une quarantaine à Lyon

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Composé de femmes à la fois de chef d’entreprise et mères de jeunes enfants, le réseau « Mampreneur du Rhône » est l’un des réseaux de l’entrepreneuriat féminin les plus actifs. Composé d’une quarantaine d’adhérentes, il rassemble des femmes qui ont créé leur entreprise dans le but de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Une « Mampreneur » ? Une femme, à la fois chef d’entreprise et mère de famille qui a fait le choix de se mettre à son compte ou de créer son entreprises pour gagner en liberté et surtout pour concilier vie personnelle et vie professionnelle.

Ce concept né aux Etats-Unis et qui s’est développé en France en 2008 à partir d’un blog qui a rencontré un grand succès « Maman et entrepreneuse », aurait pu faire pschitt. Ça n’a pas été le cas, bien au contraire.

Un réseau est né, réunissant des mères entrepreneuses âgées en moyenne entre vingt-cinq et quarante ans, à Paris d’abord, pour se structurer et prendre ensuite une dimension nationale, avec des MamCfés, des conventions, un « Printemps des Mampreneurs », un showroom, pour mettre en avant les produits ou les services de chacune des « Mampreneurs », etc.

Créé il y a quatre ans, le réseau « Mampreneurs du Rhône » compte, lui, désormais près de quarante mamans entrepreneuses et se révèle particulièrement actif.

« On se donne de l’énergie, on partage… »

« On se donne de l’énergie, on partage. Notre réseau est avant tout fondé sur l’entraide. Par le partage d’expériences une fois par mois, la valorisation des compétences de chacune, le réseautage… Notre objectif est de rompre l’isolement du chef d’entreprise et d’apporter du soutien à chacune d’entre nous », explique, large sourire aux lèvres, Christelle Martinez, l’animatrice du réseau. Lequel réseau fait d’ailleurs parti du Réseau Economique Féminin qui regroupe à Lyon toutes les associations d’entrepreneuses.

L’animatrice ajoute : « Ce n’est pas évident de sortir du salariat pour créer son entreprise. Nous avons osé créer : c’est ce qui nous relie et fait notre force. Une grande amitié nous lie, ça aide, c’est même indispensable car développer son entreprise n’est pas tous les jours rose. »

Les entreprises créées par les Mampreneurs du Rhône sont essentiellement des sociétés de service.

Si dans l’ensemble il s’agit de petites sociétés de une à trois personnes, certaines ont pris leur envol et se sont développées.

Axeo, créé par une ex-cadre de multinationale compte 22 salariés

C’est le cas de la société Axeo, une entreprise de services à domicile créée en 2009 qui compte à ce jour vingt-deux salariés en CDI.

Sa créatrice, Edwige Allan, deux enfants de 2 et 5 ans, avait auparavant occupé des postes de marketing-communication et développement des ventes dans de grande sociétés d’électronique grand public, à Paris, avant de faire le saut de l’entrepreneuriat.

 

Edwige Allan, créatrice d’Axeo (photo DR)

« C’est certes un environnement totalement différent de celui dans lequel j’évolue depuis que j’ai créé ma société, mais ce parcours m’a permis d’acquérir diverses compétences que j’ai transférées sur ma société.  Ma formation en économie et en commerce international m’a permis de m’adapter en permanence à l’environnement et de gérer au mieux ma société », constate-t-elle.

Son adhésion au « Mampreneurs du Rhône » est pour elle une évidence : « J’ai créé mes deux bébés finalement la même année : ma fille, puis ma société, donc je me suis sentie très vite mampreneur ! Cela m’a permis d’avoir une vie épanouie, à la fois avec mes enfants et dans mes projets professionnels. »

Quelques Mampreneurs ont créé des société en lien direct avec leur vécu de mère. Ainsi, par exemple, Anne Baron, mère d’un garçon de 2 ans et d’une fille de 4 ans, a créé la société « Précieux moments », spécialisée dans l’accompagnement des parents, à l’arrivée d’un enfant.

Christelle Martinez, mère de deux filles, l’animatrice du réseau, s’est lancée, elle, dans le linge et la décoration pour les chambres d’enfants de 0 à 7 ans (société Pitili).

Stéphane Buiron Rouvier, deux enfants de 3 et 6 ans, a, de son côté, créé la société « Oh, qu’il est bio ! », une marque de puériculture spécialisée dans les cosmétiques bio.

Pour le reste, la palette est vaste : cabinet de recrutement, ressources humaines, agence de communication, parfums naturels, médiation familiale, architecture intérieure, création graphique, etc.

Lyon Start-up : 90 % d’hommes

D’aucuns regrettent la création d’associations exclusivement composées d’entrepreneuses. Une forme de discrimination positive qui pourrait maintenir une forme de stigmatisation.

L’animatrice du réseau, Christelle Martinez, pense qu’il est indispensable d’en passer par là.

« Rendez-vous compte, les lauréats du concours « Lyon Start-up » qui vise à rassembler des entreprises en phase d’ante-création et qui a connu à Lyon un grand succès sont à 90 % des hommes. Les femmes y sont très peu nombreuses. Nous pensons que notre association a valeur d’exemplarité. Beaucoup d’entre nous vont d’ailleurs dans les écoles pour porter la bonne parole entrepreneuriale…au féminin… »

Propriété de publication

Cet article "Réseau d'entreprises au féminin : les « Mampreneurs » sont désormais une quarantaine à Lyon" est une publication du site Lyon-Entreprises.com lisible sur le site source à cette adresse http://www.lyon-entreprises.com/News/Lyon-Parc-Auto-integre-la-4G-dans-ses-parkings/Reseau-d-entreprises-au-feminin-les-Mampreneurs-sont-desormais-une-quarantaine-a-Lyon-i63428.html.

Réseau d’entreprises au féminin : les « Mampreneurs » sont désormais une quarantaine à Lyon

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Dominique Largeron

Composé de femmes à la fois de chef d’entreprise et mères de jeunes enfants, le réseau « Mampreneur du Rhône » est l’un des réseaux de l’entrepreneuriat féminin les plus actifs. Composé d’une quarantaine d’adhérentes, il rassemble des femmes qui ont créé leur entreprise dans le but de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Des Mampreneurs du Rhône lors d’un MamCafé consacré aux services

Une « Mampreneur » ? Une femme, à la fois chef d’entreprise et mère de famille qui a fait le choix de se mettre à son compte ou de créer son entreprises pour gagner en liberté et surtout pour concilier vie personnelle et vie professionnelle.

Ce concept né aux Etats-Unis et qui s’est développé en France en 2008 à partir d’un blog qui a rencontré un grand succès « Maman et entrepreneuse », aurait pu faire pschitt. Ça n’a pas été le cas, bien au contraire.

Un réseau est né, réunissant des mères entrepreneuses âgées en moyenne entre vingt-cinq et quarante ans, à Paris d’abord, pour se structurer et prendre ensuite une dimension nationale, avec des MamCfés, des conventions, un « Printemps des Mampreneurs », un showroom, pour mettre en avant les produits ou les services de chacune des « Mampreneurs », etc.

Créé il y a quatre ans, le réseau « Mampreneurs du Rhône » compte, lui, désormais près de quarante mamans entrepreneuses et se révèle particulièrement actif.

« On se donne de l’énergie, on partage… »

« On se donne de l’énergie, on partage. Notre réseau est avant tout fondé sur l’entraide. Par le partage d’expériences une fois par mois, la valorisation des compétences de chacune, le réseautage… Notre objectif est de rompre l’isolement du chef d’entreprise et d’apporter du soutien à chacune d’entre nous », explique, large sourire aux lèvres, Christelle Martinez, l’animatrice du réseau. Lequel réseau fait d’ailleurs parti du Réseau Economique Féminin qui regroupe à Lyon toutes les associations d’entrepreneuses.

L’animatrice ajoute : « Ce n’est pas évident de sortir du salariat pour créer son entreprise. Nous avons osé créer : c’est ce qui nous relie et fait notre force. Une grande amitié nous lie, ça aide, c’est même indispensable car développer son entreprise n’est pas tous les jours rose. »

Les entreprises créées par les Mampreneurs du Rhône sont essentiellement des sociétés de service.

Si dans l’ensemble il s’agit de petites sociétés de une à trois personnes, certaines ont pris leur envol et se sont développées.

Axeo, créé par une ex-cadre de multinationale compte 22 salariés

C’est le cas de la société Axeo, une entreprise de services à domicile créée en 2009 qui compte à ce jour vingt-deux salariés en CDI.

Sa créatrice, Edwige Allan, deux enfants de 2 et 5 ans, avait auparavant occupé des postes de marketing-communication et développement des ventes dans de grande sociétés d’électronique grand public, à Paris, avant de faire le saut de l’entrepreneuriat.

 

Edwige Allan, créatrice d’Axeo (photo DR)

« C’est certes un environnement totalement différent de celui dans lequel j’évolue depuis que j’ai créé ma société, mais ce parcours m’a permis d’acquérir diverses compétences que j’ai transférées sur ma société.  Ma formation en économie et en commerce international m’a permis de m’adapter en permanence à l’environnement et de gérer au mieux ma société », constate-t-elle.

Son adhésion au « Mampreneurs du Rhône » est pour elle une évidence : « J’ai créé mes deux bébés finalement la même année : ma fille, puis ma société, donc je me suis sentie très vite mampreneur ! Cela m’a permis d’avoir une vie épanouie, à la fois avec mes enfants et dans mes projets professionnels. »

Quelques Mampreneurs ont créé des société en lien direct avec leur vécu de mère. Ainsi, par exemple, Anne Baron, mère d’un garçon de 2 ans et d’une fille de 4 ans, a créé la société « Précieux moments », spécialisée dans l’accompagnement des parents, à l’arrivée d’un enfant.

Christelle Martinez, mère de deux filles, l’animatrice du réseau, s’est lancée, elle, dans le linge et la décoration pour les chambres d’enfants de 0 à 7 ans (société Pitili).

Stéphane Buiron Rouvier, deux enfants de 3 et 6 ans, a, de son côté, créé la société « Oh, qu’il est bio ! », une marque de puériculture spécialisée dans les cosmétiques bio.

Pour le reste, la palette est vaste : cabinet de recrutement, ressources humaines, agence de communication, parfums naturels, médiation familiale, architecture intérieure, création graphique, etc.

Lyon Start-up : 90 % d’hommes

D’aucuns regrettent la création d’associations exclusivement composées d’entrepreneuses. Une forme de discrimination positive qui pourrait maintenir une forme de stigmatisation.

L’animatrice du réseau, Christelle Martinez, pense qu’il est indispensable d’en passer par là.

« Rendez-vous compte, les lauréats du concours « Lyon Start-up » qui vise à rassembler des entreprises en phase d’ante-création et qui a connu à Lyon un grand succès sont à 90 % des hommes. Les femmes y sont très peu nombreuses. Nous pensons que notre association a valeur d’exemplarité. Beaucoup d’entre nous vont d’ailleurs dans les écoles pour porter la bonne parole entrepreneuriale…au féminin… »

Les site des « Mampreneurs »

Publiée le 12 oct. 2014 par LARGERON Dominique.

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