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Crise et difficultés financières

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Le livre Blanc de la CAPEB !

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Aides, subventions, concoursavant Le mercredi 06 avril 2005

La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), en cette période électorale, part à la rencontre des candidats pour leur délivrer des messages essentiels pour l’avenir de l’artisanat du bâtiment et le développement des entreprises.

Jean LARDIN président de la CAPEB explique
Il est frappant de voir combien le regard des responsables politiques sur le monde de l’entreprise artisanale est encore fait de clichés et de préjugés étonnants.
En effet, certains considèrent que la performance d’une entreprise se juge avant tout au nombre de ses salariés employés dans le monde entier, aux résultats de ses filiales ou à l’évolution de sa cotation en bourse !
Les entreprises artisanales du bâtiment, qui ne se retrouvent pas
dans ces critères d’évaluation, sont des entreprises à part entière. Mieux encore, elles constituent la colonne vertébrale du secteur de la construction et le modèle artisanal est, aujourd’hui plus que jamais, le moteur de notre économie.
On peut être une petite entreprise du bâtiment et vouloir le rester tout en se développant. On est artisan, non par dépit ou par manque d’ambition, mais au contraire par envie de réussir dans un cadre professionnel de proximité et à taille humaine, souvent fondé sur la notion d’entreprise familiale.
La période électorale, qui s’ouvre, constitue une opportunité formidable pour débattre et faire passer des messages essentiels pour l’avenir de notre secteur d’activité et de nos petites entreprises.

Voir le livre blanc dans lequel la CAPEB a regroupé toutes ses propositions

Publiée le 21 févr. 2007 Mis à jour le 02 nov. 2010

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Bâtiment
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Industrie, industrialisation, sous-traitance industrielle
Actualités UPA Rhône-Alpes

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Un nouveau réseau de chefs d’entreprise axé sur le business entre membres voit le jour à Lyon : BNI

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Lyon réputée ville de réseaux vient d’en accueillir un nouveau, d’origine américaine : BNI (Business Network International). Un nouveau venu qui vient de se lancer devant 200 dirigeants d’entreprises réunis jeudi à Lyon. Son originalité par rapport à d’autres : il affiche d’emblée la couleur : les 40 membres d’un « groupe » sont là pour faire du business entre eux en mettant leurs propres réseaux à disposition des membres. Il est en revanche gourmand en temps, imposant une réunion par semaine. Mais pour ses premiers adhérents, le jeu en vaut la chandelle.

« Le Prisme », « le Cercle de l’Union », « l’Ours » et bien d’autres : les réseaux pour socio-professionnels ne manquent pas à Lyon. Il faut croire que l’appétence en la matière ne se tarit pas. De nouveaux ont vu le jour ces derniers temps, à l’instar du Wine Business Club, plus récemment de « Lyon, ville de réseau », ou encore, la semaine dernière de BNI (Business Network International).

Il s’agit d’un réseau créé en 1985 en Californie par un universitaire, Ivan Misner Avec une réussite certaine puisque BNI annonce au niveau mondial 5 600 groupes rassemblant 125 000 membres. Après Paris où désormais une cinquantaine de « groupes » existent, BNI entend se développer en région. Après Villeurbanne où a été créé le premier « groupe » de Rhône-Alpes, il vient de jeter son dévolu sur Lyon. L’opération de lancement a réuni près de 200 personnes.

Pourquoi un tel succès ? Sans doute parce qu’il joue la carte du pragmatisme américain : lorsqu’on entre chez BNI l’objectif affiché est de faire du business entre membre. Le concept est contraignant : les 40 membres d’un « groupe », structure de base de BNI, doivent se rencontrer une fois par semaine, de 7 h 30 à 9 heures.

Le concept de BNI a le mérite de la simplicité. Le « Groupe », la structure de base, réunit de 30 à 40 membres autour de métiers différents, sachant qu’un seul métier est représenté par groupe:  de l’avocat au plombier, au promoteur immobilier, en passant par les conseil RH, l’informatique, le concessionnaire automobile, webmaster ou société de production vidéo ou notaire, voire même coach sportif pour chef d’entreprise, etc.

Les membres d’un groupe se réunissent donc une fois par semaine en s’engageant à faire non seulement du business entre eux, mais à mettre leur propre réseau personnel et professionnel à disposition des membres du groupe. « BNI est un réseau d’affaires professionnel basé sur la recommandation mutuelle. Il concerne tous les entrepreneurs et cadres dirigeant qui souhaitent développer du new business, c’est une mutualisation des réseaux de chacun de ses membres », résume Francis Kirshving, patron d’une société de conseils en management et ressources humaines.

Bruno Delhoume, patron d’une société du BTP, « 2D Construction », basée à Lissieu dans le Rhône qui fait partie d’un groupe de Tours où il possède une agence, ne tarit pas d’éloge sur le concept « j’ai réalisé les deux tiers de mon chiffre d’affaires dans cette ville, grâce aux membres du groupe ! Un groupe, c’est du temps qui rapporte. »

Et d’ajouter : « Mais attention, vous recevez, mais si vous savez vous aussi donner : qui donne, reçoit. C’est la raison pour laquelle nous sommes très vigilants dans le choix des membres. »

Thibault Roullet, avocat associé, membre du premier « groupe lyonnais » dont il devrait prendre la direction d’ici six mois est tout aussi enthousiaste : « le groupe m’a rapporté de nouveaux dossiers, de nouveaux contacts. Comme on se voit toutes les semaines, cela finit par créer des liens forts. On devient amis avec des gens que l’on n’aurait, sinon, jamais cotoyé. Il finit par se créer une ambiance vraiment conviviale. »

Le premier groupe lyonnais devrait être suivi d’autres. Une dizaine devrait voir le jour entre Rhône et Saône. D’autant que contrairement à d’autres réseaux, l’inscription n’est pas très onéreuse : 150 euros de droits d’entrée et 700 euros de cotisation annuelle. A entendre ses premiers membres, ce nouveau club en date offre un bon retour sur investissement. La clé de son bon démarrage ?

Photo (DL) : Thibault Roullet, avocat et Francis Kirschving, patron d’une société de conseils en management et ressources humaines, à l’origine du premier « groupe » BNI de Lyon

Publiée le 20 juin 2010 par LARGERON Dominique. Mis à jour le 22 juin 2010

Anne-Sophie Panseri prend la présidence de « Femmes Chefs d’Entreprises »

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Pédégère d’une entreprise industrielle lyonnaise de 82 salariés, spécialisée dans la fabrication de portes souples, elle entend travailler avec les autres associations lyonnaises rassemblant des « executive women ».

L’ancienne présidente, Armelle Petiau-Levy ayant revendu sa société informatique pour s’installer à Shanghai, Anne-Sophie Panseri vient d’être élue à la présidence de la délégation de Lyon de l’association FCE (Femmes Chefs d’Entreprises *). Une association regroupant près de cent cinquante sympathisantes pour une quarantaine de cotisantes actives.

Son rôle ? « Le principal est de mobiliser les femmes pour qu’elles prennent des mandats patronaux, dans les CCI, les Tribunaux de commerce, etc. Même si le nombre de femmes augmente, il reste encore très insuffisant », assure Anne-Sophie Panseri. Qui précise : « Les organisations patronales sont très demandeuses de candidatures féminines : elles nous appuient. » En outre FCE multiplie les rencontres, les partages d’expériences : « Quand on est chef d’entreprise, on est seule : le rôle de l’association est aussi de se former et de s’informer », précise la nouvelle présidente.

Après un passage chez Decathlon où elle a notamment lancé le concept de Trocathlon, cette femme de 43 ans, mère de trois enfants, dotée d’un DUT Techniques de commercialisation et d’une maîtrise en communication a intégré en 1989 l’entreprise familiale créée par son père, Mavil. Après passage au marketing, elle dirige cette société spécialisée dans la fabrication de portes souples industrielles (82 salariés, 14 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2008 dont 16 % à l’international et 500 000 euros de résultat net).
Elle est également Directeur général d’une filiale, PIL (Peinture Industrielle Lyonnaise), présidée par son frère et spécialisée dans le traitement de surface peinture époxy cuite au four (10 salariés, un million d’euros de chiffre d’affaires).

Comme toutes les femmes engagées dans le monde économique, Anne-Sophie Panseri reconnaît « jongler en permanence entre entre la vie professionnelle et la vie familiale ».
Pas question de faire la gué-guerre avec les deux autres principales associations de femmes chefs d’entreprises existant à Lyon. Au contraire : la nouvelle présidente de FCE entend bien développer avec elles un travail collectif : « Nous sommes complémentaires : Action’elles rassemble des femmes créatrices de leur entreprise ou porteuses d’un projet et Business women est une plate-forme de mises en relation ». Et de conclure : « Nous sommes toutes au service des femmes ! »

Outre la présidente (photo), la nouvelle équipe de Femmes Chefs d’Entreprises (FCE) Lyon est composée de Camille Ferrari, Djamila Calla, Laurence Renaudin, Farida Remila, Michèle Wolff et de Sylvaine Minier (secrétaire-comptable : Annick Bideau).

Publiée le 19 oct. 2009 par LARGERON Dominique. Mis à jour le 19 oct. 2009

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